Quoi ?
Module qui permet à un microscope de fluorescence "ordinaire" de devenir extraordinaire en atteignant une résolution de 70 nanomètres (70 milliardièmes de mètre), dépassant ainsi 4 fois la frontière de l’optique, autrement appelée limite de diffraction, qui se situe aux alentours de 250 nanomètres.
Pourquoi ?
Aujourd'hui moins de 5% des laboratoires biologiques impliqués dans la recherche en biologie cellulaire, dans le monde entier, sont équipés de microscopes de super-résolution, dû au coût des instruments disponibles, à leur complexité d’utilisation et leur grande phototoxicité ('photo bleaching' qui détruit un échantillon vivant).
Comment ?
Grâce à des améliorations dans plusieurs domaines : la clarté de l’image, l’utilisation de l’outil moins complexe, le budget global plus abordable jusqu'à 4 fois moins cher.
Vocation ?
Contribuer à accélérer le développement de nouvelles molécules thérapeutiques qui vont nous aider à vivre mieux et plus longtemps.
Bénéfice pour l'utilisateur final ?
Accès au premier module de super résolution, compatible avec lʼensemble des microscopes quelle que soit leur marque, tout en préservant en vie les échantillons observés grâce à la quantité de lumière nécessaire à la génération d’une imagie super résolue.
L'avis du jury
Les jurés ont été impressionnés par l’approche novatrice d’un exemple de ce qui se fait de mieux en haute technologie, par l’impact de nouvelles molécules thérapeutiques et par une meilleure compréhension des sciences de la vie pour améliorer notre qualité de vie.